Araignée du soir, espoir.....gloups !
La culpabilité me sert le coeur ce matin.
Hier soir, alors que je lisais dans mon lit douillet le Propos sur le Bonheur du philosophe Alain (et oui, je suis une intellllôôô) une petite araignée a fait son apparition dans ma tendre chambrette. Elle est descendue par le mur et a planté ses six (?) minuscules pattes velues juste derrière ma table de chevet. Après que mes poils de bras se soient hérissés, j'ai pensé à ma chère Aimée, puis j'ai pris mon courage à deux mains pour me remettre la tête dans Alain (enfin, dans son ouvrage).
Mais me yeux ne pouvaient s'empêcher de se jeter derrière ma table de chevet pour voir si le timide animal avait tenté de bouger...Rien. Elle restait là, sans doute plus pétrifiée que moi.
Et puis, mon poupa a passé la tête par la porte pour me dire bonne nuit et sans m'en rendre compte, par un réflexe idiot je lui ai dit : "Papa, y'a une araignée là !"
Inconsciemment, j'étais persuadée qu'il allait prendre sa pantoufle pour l'écrabouiller. Ce qu'il fit sans autre forme de procès.... Avais-je réellement voulu cela ? Comme pour m'excuser auprès de ma victime indirecte j'ai dit "Oh, mais je voulais pas la tuer !"
Etait-ce vrai ? Ou n'ai-je pas mieux dormi en sachant l'araignée ne déambulant plus dans les parages ?? J'en suis retournée, je pense que je ne voulais pas la tuer, que je préférais voir si je pouvais tenir avec elle à côté de moi, mais je n'ai pas su résister à la facilité de l'écrabouiller...
Si Aimée tu me regardes de là-haut, pardonne-moi pour ton amie.
Divine White
Hier soir, alors que je lisais dans mon lit douillet le Propos sur le Bonheur du philosophe Alain (et oui, je suis une intellllôôô) une petite araignée a fait son apparition dans ma tendre chambrette. Elle est descendue par le mur et a planté ses six (?) minuscules pattes velues juste derrière ma table de chevet. Après que mes poils de bras se soient hérissés, j'ai pensé à ma chère Aimée, puis j'ai pris mon courage à deux mains pour me remettre la tête dans Alain (enfin, dans son ouvrage).
Mais me yeux ne pouvaient s'empêcher de se jeter derrière ma table de chevet pour voir si le timide animal avait tenté de bouger...Rien. Elle restait là, sans doute plus pétrifiée que moi.
Et puis, mon poupa a passé la tête par la porte pour me dire bonne nuit et sans m'en rendre compte, par un réflexe idiot je lui ai dit : "Papa, y'a une araignée là !"
Inconsciemment, j'étais persuadée qu'il allait prendre sa pantoufle pour l'écrabouiller. Ce qu'il fit sans autre forme de procès.... Avais-je réellement voulu cela ? Comme pour m'excuser auprès de ma victime indirecte j'ai dit "Oh, mais je voulais pas la tuer !"
Etait-ce vrai ? Ou n'ai-je pas mieux dormi en sachant l'araignée ne déambulant plus dans les parages ?? J'en suis retournée, je pense que je ne voulais pas la tuer, que je préférais voir si je pouvais tenir avec elle à côté de moi, mais je n'ai pas su résister à la facilité de l'écrabouiller...
Si Aimée tu me regardes de là-haut, pardonne-moi pour ton amie.
Divine White
2 Comments:
At 10:30 PM, Anonyme said…
C'est marrant, hier soir aussi, je lisais un livre - j'étais chez mes parents, en plus ! - quand j'ai vu une petite bête à HUIT pattes ("ses huit grosses pattes velues, quand même !!) gambader sur le mur à côté de ma tête.
Bah, en fait, je l'ai écrasée.
J'aime pas les araignées, ça pique.
At 12:59 AM, Zitoun said…
Pauvre Aimée...
Pet à son âme...
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