El pamplemousso Azul

mercredi, février 15, 2006

H5N1

Bien, je sais pas vous, mais moi y'a un truc qui m'énerve un peu en ce moment (bon pas au point de descendre dans la rue mais quand même), c'est la grippe aviaire et cette psychose qui l'entoure.
La grippe aviaire arrive en Europe et les journalistes sont bien heureux de nous foutre la frousse avec des schémas constituées de grosses flèches rouges représentant le trajets des oiseaux qui atteindront la France.

Alors pour rétablir une chose, voici ce texte que j'ai trouvé sur sante.gouv.fr qui explique les dangers de ses volatiles :

La grippe aviaire est une maladie animale. Cependant, dans quelques cas
répertoriés par l'Organisation mondiale de la Santé, le virus de la grippe aviaire a pu se transmettre à l'homme par l'intermédiaire des sécrétions respiratoires des animaux infectés, de leurs déjections ou de plumes et de poussières souillées. Seules les personnes qui ont des contacts étroits, prolongés et répétés avec des animaux malades sont exposées à une contamination par le virus aviaire A(H5N1). A ce jour, les personnes ayant contracté ce virus sont toutes localisées en Asie du Sud-Est et en Asie mineure et la maladie n'est pas transmissible d'homme à homme (pas de contamination inter-humaine). Le risque actuel de survenue d'une pandémie grippale chez l'homme est lié à l'augmentation de la circulation du virus aviaire A(H5N1) rendant plus probable l'émergence d'un nouveau virus grippal adapté à l'espèce humaine. Le risque d'être contaminé en mangeant de la viande ou des oeufs est faible voire négligeable selon l'
Agence française de sécurité sanitaire des aliments. La chaleur supérieure à 60° pendant 5 minutes détruit le virus. A ce jour, en Europe, seuls des cas animaux sont répertoriés.
En gros, vous risquez d'être contaminé si vous bouffer des plumes de poulet, si vous entrenez une relation suivi avec un canard, si un cygne vous tousse dans la bouche ou si vous saupoudrez vos pâtes de merde de cigogne. Pour ma part, ce n'est pas le cas.

Divine White, que les volatiles n'effraient que moyennement.

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